Lors de la première édition du Grand Prix des Amériques qui coincidait avec son retour chez Yamaha après un passage plutôt raté chez Ducati, Valentino Rossi s’était retrouvé complètement décramponné par rapport à ses adversaires. En effet, il avait terminé sixième à plus de seize secondes de Marc Marquez.
En 2014, les choses ne s’amélioraient pas nécessairement puisqu’il terminait huitième mais en revanche, en 2015 l’Italien accrochait le podium avec une troisième place derrière Andrea Dovizioso.
A chaque passage sur ce circuit, le problème est resté l’usure prématurée des gommes par la Yamaha.
Mais en 2016, de Bridgestone nous sommes passés à Michelin qui bien que certaines explosent, semblent avoir apporté des gommes plus dures que celles du manufacturier nippon ce qui, selon Rossi, pourrait peut-être résoudre ses soucis.
« En 2014 et en 2015, notre problème, qui était aussi celui des autres machines mais probablement moins fort, était que nous abîmions beaucoup le pneu du côté droit. En 2014, ça a été un très gros problème mais en 2015, nous avons malgré tout pu le gérer jusqu’à la fin de la course. Mais maintenant, nous devons comprendre comment ça se passera avec les Michelin parce qu’il semble que ces gommes sont un peu plus fortes et plus résistantes. Ils pourront peut-être résister toute la course mais on doit d’abord attendre de rouler sur le circuit pour juger du niveau d’adhérence de la piste. Avec l’introduction des Michelin, on n’a pas de données, on ne connaît rien. On le découvrira sur le CoTA ».
Stay tuned !
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