Fabio Quartararo : « Yamaha était la meilleure décision »



Fabio Quartararo n’avait pas qu’une option pour 2021. Il a « pris le temps d’étudier les différentes offres », et est convaincu d’avoir fait le bon choix avec l’équipe officielle Yamaha.

La carrière de Fabio Quartararo s’écrit en lettres bleues. Pilote Yamaha depuis 2019, le Français le sera (au moins) jusqu’en 2022. Après avoir bouclé sa saison 2020 sur la M1 de l’équipe Petronas, il rejoindra le team officiel aux côtés de Maverick Viñales.

Un transfert qu’il doit à ses résultats exceptionnels. Dès sa première année en MotoGP, le Niçois s’est montré capable de tenir la dragée haute à Marc Marquez (Misano, Buriram) et d’accumuler les poles (six), les podiums (sept) et les premières lignes (treize). Il a bouclé sa campagne avec les titres de meilleur pilote satellite et meilleur rookie.

De quoi s’attirer les faveurs d’autres constructeurs, comme Ducati qui l’avait dans le viseur. C’est pour ne pas le laisser filer à la concurrence que Yamaha s’est empressé de le faire signer. Les choses se sont emballées à partir de décembre, mais le pilote et son entourage se sont quand même accordés un temps de réflexion « On a quand même pris le temps d’étudier les différentes offres qui nous étaient faites. On n’a pas dit oui tout de suite », explique Fabio Quartararo à L’Équipe.

Pourquoi avoir choisir Yamaha ? D’abord, pour les « témoignages de confiance » qui lui ont été faits, « notamment avec cette mise à disposition d’une moto d’usine dès 2020. Et puis la Yamaha, c’est aussi une moto que je connais et avec laquelle je me sens bien », ajoute-t-il. Pourquoi changer une équipe sur le chemin de la victoire ?

Poursuivre chez Yamaha est aussi un gage de stabilité, ce à quoi il est peut habitué dans sa carrière – en Moto3 et Moto2, il a changé de team et de constructeur quatre fois en quatre ans. « Pouvoir rester quatre ans avec la même marque, je pense que c’est aussi quelque chose de positif. Yamaha, c’était la meilleure décision. »

Avoir bouclé ses dossiers dès janvier lui permettra aussi de pouvoir se concentrer sur sa saison 2020 sans penser au futur, pusiqu’il est verrouillé. « Je vais pouvoir aborder la compétition avec beaucoup de sérénité, sans me soucier de mon avenir, se réjouit-il. Je me sens prêt. Surtout après avoir signé un tel contrat ! J’ai les idées claires, je sais ce que je vais faire les trois prochaines années, et cela m’enlève de la pression. »

Stay tuned !
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Lin Jarvis (Yamaha) : Quartararo, un choix « logique »

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