La rupture avec Yamaha, le choix d’Alex Marquez pour Honda, le championnat paralysé par l’épidémie de coronavirus : Johann Zarco a fait le point auprès de Gpone. Synthèse.
La rupture avec Yamaha : « Les décisions n’ont pas toujours été miennes, aussi parce que j’avais un manager qui s’occupait de moi à l’époque. Ayant dit cela, je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas pu nous entendre avec Yamaha et avoir des opportunités avec eux. Je parle de continuer avec Yamaha mais je peux aussi mentionner l’offre de Honda, que je ‘ai jamais reçue. (…)
Je dois dire que j’ai souffert pendant un an, mais j’ai grandi en tant qu’homme et maintenant je me sens nouveau. Je continue de cultiver le rêve de gagner en MotoGP. Donc je pense que j suis dans un moment de renaissance personnelle, aussi parce que je ne suis pas vieux, encore moins fini. »
Alex Marquez chez Repsol Honda : « Cela fait partie du jeu et c’est logique qu’ils aient pris Alex, car il est le frère du meilleur pilote du monde et a gagné en Moto2. Pour le business et la communication, c’était aussi certainement le choix à faire. C’est évidemment dommage, parce que passer de la KTM à la Honda en un an aurait été intéressant. »
Comparer les motos : « La Honda et la Yamaha ont un âme japonaise, elles sont bien plus similaires que vous le pensez, alors que pour les constructeurs européens c’est différent. Je le dis parce qu’Avec la Ducati je m’attendais à trouver des sensations proches de la Honda, mais cela n’a pas été le cas. Mais je peux dire que la Honda est une moto qui a de la passion, qui prend au coeur. »
Championnat paralysé : « C’est une période particulière pour tous. Je suis évidemment enfermé chez moi, même si j’ai la chance de pouvoir m’occuper dans le jardin. Je ne nie pas que la moto me manque, bien que j’ai peur que nous allons encore devoir attendre longtemps avant de reprendre la piste. La Dorna m’a invité à participé à la course virtuelle dimanche, mais j’ai préféré reporter ça car j’ai essayé de faire quelques tours et j’étais trop lent. Je préfère plus tard pour être prêt, et éviter de faire mauvaise impression. »
Zarco et Quartararo : « J’ai grandi avec les motos en Italie, Fabio en Espagne ; comme pilote il est peut-être plus Espagnol que moi. En Espagne j’ai vu beaucoup de pilotes forts, qui ne peuvent malheureusement pas rouler parce qu’ils ne connaissent pas la bonne personne ou n’ont pas le budget, Je pense qu’en Italie la VR46 Academy a été une grande opportunité pour aider les jeunes à aller en championnat du monde. »
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[…] Johann Zarco « dans un moment de renaissance personnelle » […]
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