Chez Yamaha, on commence à retrouver le sourire. Les résultats de Valentino Rossi permettent aux Bleus d’envisager une sortie de crise.
Une crise qu’ils connaissent depuis bientôt deux ans. Souvenez-vous : à partir de mi-2017, Valentino Rossi et Maverick Viñales ont compliqué à rencontrer des difficultés sur leur M1, quand leurs adversaires progressaient de manière fulgurante – en particulier Suzuki.
En 2018, il a fallu attendre le 16e Grand Prix de l’année pour que Yamaha gagne (sa seule victoire de l’année). La situation fut telle que les dirigeants sont venus s’excuser devant la presse, et promis de redoubler d’efforts pour aider leurs pilotes. Depuis, les choses commencent à changer.
Il y a d’abord eu la fin de saison 2018, où on a effectivement vu Viñales gagner en Australie, puis Rossi jouer la victoire en Malaisie et à Valencia. Yamaha a lancé son test-team européen, engageant Jonas Folger comme pilote d’essai. L’équipe Petronas SRT a vu le jour et sort du lot, avec Fabio Quartararo et Franco Morbidelli déjà membres du top-10. Et la pré-saison 2018-19 a été dominée par une M1 : celle de Viñales. Rossi, lui, avait du mal.
Début 2019, la situation s’est inversée. Viñales n’est plus aussi satisfait mais Rossi, lui, a retrouvé le sourire. En attestent ses premiers résultats : 5e au Qatar (remontée), 2e en Argentine, 2e au Texas. Et l’Italien souligne, via crash.net, les progrès réalisés sur sa machine :
« Nous avons essayé de travailler sur la partie électronique, le frein moteur, la souplesse du moteur, d’améliorer l’accélération car nous avons toujours des soucis en sortie de virage. Nous avons aussi trouvé un meilleur équilibre par rapport à l’an dernier. La moto fonctionne mieux.
Nous avons besoin de temps, parce qu’il y a encore des domaines où nous devons progresser, mais il semble que nous sommes dans la bonne direction. C’est important. Nous avons un bon groupe dans le box. Le challenge est de taille, mais nous progressons. »
on parle de Rossi, où il est fdp ?
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