À 41 ans, Valentino Rossi traverse un moment difficile, alors que la campagne 2020 risque d’être l’une des pires de sa carrière (lire ici). Problème mécanique, chutes et contamination au Covid-19 ont gâché une saison où il se sent pourtant bien sur sa Yamaha. Son meilleur résultat : une 3e place au Grand Prix d’Andalousie.
Ses chances de succès en 2020 sont désormais réduites, mais il aura une nouvelle – et dernière ? – chance de briller en 2021, année qu’il disputera dans l’équipe Petronas Yamaha SRT. Il aura alors 42 ans, et de nouvelles opportunités d’aller chercher la 116e victoire après laquelle il court depuis le Grand Prix des Pays-Bas 2017.
Sa longévité force le respect, mais certains se disent également attristés de le voir continuer sans pouvoir se battre pour les premières places, comme par le passé. C’est l’avis exprimé par Casey Stoner, ancien rival de Valentino Rossi de 2006 à 2012.
« Je crois que tout dépend de Valentino, s’il se fait encore plaisir et qu’il continue à être rapide, très bien, répond-il d’abord au micro de Motorsport, au sujet de la prolongation du Docteur. C’est vraiment difficile d’être dans la tête d’une autre personne. »
« Pour moi, quand je roulais contre Valentino, c’était un vainqueur, un tueur, il faisait tout ce qui était possible pour gagner des courses, se rappelle-t-il ensuite. Maintenant, un top-5 ou un podium sont comme une victoire pour lui, et c’est triste. Il a toujours fait tout son possible pour gagner des courses, et aujourd’hui il semble en difficulté pour arriver à gagner. »
Ce n’est pas la première fois que Casey Stoner est interrogé sur la poursuite de la carrière de Valentino Rossi. En janvier 2019, il estimait que la motivation était la clé de l’affaire. « Je ne pense pas qu’il y ait une limite d’âge en MotoGP. Tout le monde parle toujours de son âge, se demande s’il va rester compétitif. Si un pilote n’a pas été gravement blessé et continue à aimer ce qu’il fait, quel sens cela a-t-il d’arrêter ?, questionnait-il. Il n’y a pas de raison. Rossi est toujours aussi motivé. Arrêter ou continuer est une décision difficile à prendre. J’ai pleuré pendant trois jours quand j’ai décidé d’arrêter. Rossi est toujours bon et heureux, alors pourquoi devrait-il arrêter ? »
Cet été, l’Australien regrettait de lire que Valentino Rossi allait quitter l’équipe officielle Yamaha pour passer chez Petronas (ce n’était pas encore signé mais déjà en bonne voie). « C’est une déception de voir dénigré dans un team satellite quelqu’un que, dans ses grandes années, toutes les équipes auraient payé une véritable fortune pour l’avoir », commentait-il à Fox Asia. Aurait-il été préférable qu’il prenne sa retraite plus tôt, comme lui l’a fait ? C’est en tout cas ce qu’il sous-entendait. « Je ne sais pas comment pense Valentino, c’est impossible de le savoir. Mais je crois que s’il s’était retiré avant, il aurait en quelque sorte laissé le même héritage qu’il laissera. »
Stoner : « Une déception de voir Rossi dénigré dans une équipe satellite »
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