
Une quantité conséquente de boue en piste a entraîné l’interruption (temporaire) du premier jour du test MotoGP de Mandalika.
Faux départ à Mandalika. Si l’engouement des locaux annonce une atmosphère digne d’un grand événement national pour le futur Grand Prix d’Indonésie, il faudra espérer de bonnes conditions météo quand ce sera le moment, le week-end du 20 mars. En pleine saison des pluies, la météo fut, ce vendredi, l’un des arbitres de la première journée de l’histoire du MotoGP sur le nouveau circuit de Mandalika.
Le paddock s’est réveillé sous l’eau, et les premiers tours ont été effectués sur un asphalte trempé. Jusque-là, rien d’anormal, même si les tests sont plus utiles quand il fait beau et que la piste est sèche. Mais un autre élément, plus étonnant, est venu accompagner la pluie : la boue. Et nous parlons là d’une quantité telle que la séance a dû être arrêtée.
Environ 90 minutes de drapeau rouge ont été nécessaires pour travailler à la remise en état de l’asphalte, en plus du nettoyage induit par les passages des pilotes. La séance étant limitée en termes d’horaires (9h – 17h), ces 90 minutes représentent du temps perdu lors de ces essais hivernaux. Elles ont été partiellement rattrapées en fin de journée, avec l’ajout de 45 minutes supplémentaires d’ouverture de piste (jusqu’à 17h45, heure locale).