
Fabio Quartararo a terminé 12e du Grand Prix du Japon, coiffé au poteau par Johann Zarco en raison d’une panne d’essence, comme à Misano.
Panne d’essence. « La même chose, plus d’essence... c’est inacceptable, deux fois en trois courses. Déjà qu’on avait du mal ce week-end, si en plus on tombe en panne d’essence, c’est un peu ridicule. Il va falloir trouver pourquoi le témoin ne s’allume pas et pourquoi la stratégie ne fonctionne pas. C’était une course très compliquée, on a donné le maximum, mais on est clairement en difficulté. »
Fonctionnement. « On a une stratégie comme quoi il faut que je fasse deux tours avec la map 1, après que je change, j’attends le témoin, s’il est vert je dois remonter, jaune je dois redescendre et rouge je dois redescendre. J’ai toujours du vert. Il n’y a pas de témoin qui s’affiche. »
Grip par rapport à samedi. « Catastrophique. Je ne comprends pas pourquoi ça dépend beaucoup trop de la piste et pas de la moto. Quand on voit l’écart… il n’y a que les KTM qui ont un peu réussi à tenir tête aux Ducati. On a terminé à 30 secondes de travail, donc ça commence à faire beaucoup. »
Par rapport aux autres. « Même en se comparant avec Honda, on a des problèmes de grip. Ils sont meilleurs sur ce point. Mais là, je ne pensais pas être aussi loin. C’est-à-dire que même au deuxième tour de la course, comparé aux autres, on dirait qu’ils sont avec des pneus neufs et qu’on a des pneus en fin de vie. C’est ça qui est très difficile à comprendre, de voir qu’il y a autant de différences. »