
Le Français aborde le début de la saison avec optimisme même s’il reste encore quelques améliorations à apporter à la M1 pour venir battre les Ducati.
Quel M1 pour le premier GP ? « Nous utilisons le châssis testé à Barcelone, l’aéro de l’an dernier avec quelques modifications et le moteur 2025, plus puissant. On a encore la possibilité de changer, mais je ne pense pas qu’il y aura beaucoup d’évolutions sur le moteur cette année, peut-être une ou deux. »
Feeling à l’avant. « Sincèrement, c’est la première fois que ça nous arrive d’avoir des problèmes comme ça. En fin de journée dans le dernier run, on a essayé le pneu Michelin de 2026. C’est un pneu que je n’apprécie pas vraiment, mais puisque je n’aimais pas les deux du test, j’ai bien aimé et nous sommes allés très vite. J’espère qu’on va retrouver un petit peu ce feeling sur l’avant pour aller vite ce week-end. »
Battre les Ducati ? « Pour être honnête, je pense que pour la première partie de la saison, ça sera, je ne vais pas dire impossible, mais le mot le plus proche. On a encore besoin d’améliorations, et quand je dis “pas mal”, ce n’est pas énorme non plus. Déjà, avec les petites différences entre 2024 et 2025, on a progressé. Il n’y a pas eu un changement énorme, mais des petites modifications. Deux améliorations comme celles déjà réalisées pourraient nous permettre de les battre. »
Progrès sur un tour sans sacrifier le rythme. « Le step nous a aidés sur un tour sans impacter le rythme. On a juste amélioré ce point. On a juste amélioré ce point-là. Sur le châssis, notamment à l’entrée des virages, on a un petit avantage par rapport à l’an dernier. Avant, on peinait à doubler tandis que les autres nous dépassaient facilement. Cette fois, avec le moteur, ils auront un peu plus de mal à nous passer, et nous serons plus proches en cas d’attaque. »