
Dans le coup à Buriram, Johann Zarco partira cinquième et a montré aux essais libres qu’il avait les armes pour rester dans ce top-5 en course. Il estime que choisir les bons pneus sera la clé s’il fait beau dimanche, mais garde à l’esprit que des averses menacent l’épreuve et rebattraient les cartes. Peut-être à son avantage, lui qui est habituellement rapide sur le mouillé.
Propos issus du point presse tenu par Johann Zarco à Buriram ce samedi.
Cinquième sur la grille : « Ce fut une bonne journée. C’était délicat de tourner en dessous de 1’30. C’est dommage de manquer la première ligne, mais une cinquième place reste une bonne position. En essayant d’aller plus vite, il devient difficile de contrôler la moto partout. C’est le point faible de la journée, mais le bon point, c’est que j’ai un bon feeling avec différents pneus. Nous ne sommes pas encore certains de notre choix, mais avoir la vitesse avec le soft et le medium est plutôt positif. (…) Tout dépendra de la météo. Sur le sec, c’est le choix de pneus qui peuvent que je fais une grande course ou non. »
Une course qui risque d’être physique : « La chaleur sera la chose difficile à gérer. Nous transpirons beaucoup. Je pense qu’il devrait y avoir un gros changement après 20 tours. Les huit derniers pourraient être difficiles à gérer. Je pense que Fabio est le meilleur sur ce point. C’est pourquoi nous devrons bien choisir les pneus pour savoir ce qui va se passer. »
Les prévisions météo : « Je ne regarde même pas la météo. Ils annoncent le la pluie sur les cinq prochains mois (rires). Du coup tu d’adaptes avec ça. »
Une course possiblement humide après des essais sur le sec : « La piste est propre, on l’a bien nettoyé en roulant. Il y a eu des essais sous la pluie pour les Moto3 et ça ne semblait pas ‘dégueulasse’ non plus. Je pense qu’on va vite s’adapter. Même s’il y a de pluie, les températures restent bonnes. Ça permet aux pneus de fonctionner rapidement. »
Course mouillée après essais au sec, ou course sur le sec après des essais mouillés : « Moi, je m’adapte mieux s’il se met à pleuvoir. Quand ça devient sec, les slicks rendent parfois la moto presque moins maniable et plus physique. Tu l’habitude de rouler en finesse et tu dois attaquer d’un coup, alors qu’à l’inverse, il faut retrouver de la finesse, et ça me convient davantage. »
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