Quatrième du sprint de Jerez, Franco Morbidelli espérait aller chercher de bons points en course dimanche. Un mauvais départ puis un accrochage avec Jack Miller, qui était alors 11ème, ont conduit à un résultat blanc.
La course : « C’est dommage, à nouveau. J’ai fait un départ difficile et j’ai subi des dépassements agressifs qui m’ont fait perdre plusieurs positions. Je me suis retrouvé dans un groupe qui n’était pas le mien. Le point positif est que la vitesse est là. Avec une meilleure qualification j’aurais peut-être pu me battre pour de meilleures positions. La vitesse est là, tout le reste manque. »
L’accrochage avec Miller : « Ce fut un malheureux incident de course. Jack avait une trajectoire différente de la mienne, j’étais assez rapide mais je ne pouvais pas le passer parce qu’il freinait vraiment fort. Dans ce virage je n’ai même pas voulu le dépasser, mais quand je me suis trouvé proche de lui j’ai continué sur ma trajectoire, et au final il y a eu contact. C’est dommage. »
Les explications dans le bac à graviers : « C’est normal d’être en colère, ni lui ni moi n'étions en train de briller en course. Quand tu finis à terre, ça peut arriver d’avoir ce genre d’attitude. »
Du positif mais l’adaptation à la Ducati n’est pas finie : « On a passé un autre cap en termes de vitesse et c‘est le positif. On doit être là dans les bons moments du week-end et encore améliorer des aspects de la moto sur lesquels on n'a pas un contrôle total. On doit trouver une base et des réglages qui sont miens, mais je dois surtout accumuler des kilomètres sur la moto pour vraiment être dedans. »
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