Une partie du paddock attend toujours de recevoir les visas nécessaires au déplacement vers l’Inde, où le MotoGP a rendez-vous ce week-end. Marc Marquez est toujours en attente.
« Vol retardé en raison d’un manque de visa pour le Grand Prix d’Inde, donc on va pédaler un moment. » Ainsi Marc Marquez a-t-il annoncé, ce mardi matin, qu’il n’était pas monté dans l’avion censé le diriger vers le continent asiatique. À moins de 72 heures des premiers essais, l’octuple champion du monde n’est pas en possession du précieux sésame lui permettant de rallier le Buddh International Circuit. Et il n’est pas le seul.
Des centaines de membres du paddock font face à des problèmes avec le visa qu’ils espéraient recevoir pour se rendre en Inde. Les difficultés administratives scotchent mécaniciens, employés d’équipes, journalistes et donc pilotes au sol. Des vols ont déjà été perdus, l’autorisation de grimper dans l’avion étant soumise à la présentation du fameux visa.
La Dorna s’est mise à travailler avec l’administration indienne pour accélérer le processus, et prendra en charge les nouveaux vols qui doivent être réservés par les équipes. L’espoir est que tout le monde soit arrivé au Buddh International Circuit ce jeudi, à la veille du début du Grand Prix. Dans le cas contraire, la journée du vendredi pourrait être annulée, comme c’était arrivé en Argentine l’année dernière, pour des raisons différentes – matériel arrivé en retard.