
Le pilote Yamaha, parti 8e sur la grille, termine 7e à Mandalika.
À propos du Grand Prix : « On a fait un choix assez risqué au niveau des pneus : hard à l'avant, soft à l'arrière. Il fallait vraiment bien géré le pneu arrière. On a vu Alex (Rins) deuxième, je ne pensais pas qu'il allait arriver jusque là. Après, on a vu que quand le pneu droppe, c'est surtout la température qui monte. On a fait le max et je pense qu'il nous manque clairement de la puissance pour essayer de doubler. Je n'ai pas réussi à doubler quelqu'un et je pense que c'est au moins ce qu'il nous manque pour se battre en course. »
À propos du choix du hard à l'avant : « Parce que je freine assez fort, j'avais besoin de stabilité. Il nous manquait du grip, mais au moins je pouvais freiner assez fort sur les freinages qui étaient droits, comme le 1, le 2, le 10. Et dans le dernier virage à droite où le pneu surchauffait beaucoup, j'avais besoin de stabilité. »
« Clairement, par rapport à l'an dernier, on s'est énormément amélioré sur un tour, mais sur le rythme de course, on ne s'est pas amélioré. Sauf que l'année dernière, je ne marquais pas de points parce que je partais 17e, 18e. Là, je pars 1er, 3e, 5e. C'est ça qui fait la grande différence. L'année dernière, le rythme était assez bien, sauf qu'on partait 18e. »
À propos du Grand Prix d'Australie : « L'Australie, ça va être un petit peu comme ici. Donc je pense qu'on peut allait très vite, si on arrive à faire fonctionner le pneu. Surtout dans le dernier secteur, l'année dernière, on avait galéré. Ça va être compliqué, mais je pense que ça va être bien. »
Il n'y a pas la même allocation ? « Normalement non. »