Alex Rins a terminé 13ème du Grand Prix d'Espagne, et son bilan de la course de Jerez confirme celui de Fabio Quartararo. Comme le Français, l'Espagnol souffre physiquement en raison de l'effort demandé par la Yamaha pour aller vite.
« Une course difficile... Partir depuis la dernière place n'est pas facile, mais on a fait un meilleur départ que lors du sprint. J'ai repris quelques positions, puis j'ai été derrière Fabio (Quartararo) durant quasiment toute la course, jusqu'à environ 11 tours avant l'arrivée quand j'ai perdu des dixièmes par rapport à lui. Puis j'ai vu qu'il a commencé à souffrir comme moi et j'ai pu le rattraper et le doubler. Je vais bien. »
« Bien sûr, ce n'est pas le résultat qu'on veut, mais cette course était importante pour nous parce qu'on a pris beaucoup d'informations. Tout le temps qu'on passe en piste nous donne des années qu'on analyse et qu'on essaie de comprendre. On a beaucoup de choses à essayer ce lundi, alors continuons et travaillons. »
« L'un des gros problèmes que Fabio et moi avons est la force qu'il faut utiliser pour être très rapide sur la moto. C'est vraiment très fatiguant. On perd beaucoup de temps et d'énergie, surtout dans les zones où on doit faire des changements de direction rapides. Cette année j'ai eu du mal aux avant-bras dès le début, au Qatar. C'est une faiblesse de la moto sur laquelle on doit travailler. »